10° Mange tes morts.
A la sauce tomate.
[caption id="attachment_455" align="alignnone" width="768"] Un chasseur sachant chasser.[/caption]
Plongée furieuse et sanguine dans le quotidien d’une
[caption id="attachment_543" align="alignnone" width="532"] "C'est drôleuh".[/caption]
Cher Jean Dujardin, Cher Michel Hazanavicius,
Vous ne lirez sans aucun doute jamais ces quelques lignes, mais
6° Dallas Buyer Club.
Les années 80.
[caption id="attachment_536" align="alignnone" width="720"] Banc public, banc public...[/caption]
Aussi curieux que cela puisse paraître, la représentation
7° Le Vent se lève.
Ceci n'est pas un Ken Loach.
En 2014, le géant des géants annonçait sa retraite. Père de tant de mondes enchanteurs, Hayao Miyazaki partait comme un prince en nous laissant
8° Léviathan.
Tomassov Hobbesevitch.
[caption id="attachment_517" align="alignnone" width="670"] Les baleines se cachent pour mourir.[/caption]
Sur les côtes de la mer de Barents, en Russie,
9° Deux jours, une nuit.
La lutte très classe.
[caption id="attachment_508" align="alignnone" width="630"] Le débardeur rose qui fait la dif'.[/caption]
1998, année Pirés. Robert gagne la Coupe
10° Mange tes morts.
A la sauce tomate.
[caption id="attachment_455" align="alignnone" width="768"] Un chasseur sachant chasser.[/caption]
Plongée furieuse et sanguine dans le quotidien d’une
Qui dit nouvelle année dit toujours "palmarès" de l'ancienne. Mais avant de vous présenter mes dix films favoris de 2014, décernons quelques prix spéciaux ! Et rappelez-vous, tout cela est et reste
Ce qui est bien avec les Oscars, c’est que chaque année c’est la même chose. Chaque année je bougonne comme le Schtroumpf Grognon à l’approche de la cérémonie. Chaque année, je peste contre